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€100
Utilisée par les troupes du Génie, on la retrouvera encore en Indochine.
€100
Faisait partie de l’équipement du soldat allemand de 14.
€50
C’est la célèbre Rosalie qui équipait les Pioupious français en août 1914.
€80
La baïonnette adoptée pour le fusil Lebel en service dans l’Armée française à la veille de la Première Guerre mondiale.
€1,100
Cette arme a été fabriquée pour le marché civil, probablement directement pour un tir à étuis métallique, avec des pièces de chassepot.
€950
Excellent sabre porté dans les deux régiments de Carabiniers qui furent réunis en 1866 pour devenir le régiment des Carabiniers de la Garde Impériale de Napoléon III.
€200
Fait vers 1850 à l’époque des hauts de forme et des crinolines.
€120
Bon petit pistolet juxtaposé produit vers 1830.
€280
Jolis pistolets faits pour la défense de l’honnête citoyen vers 1835-40.
€120
Rare baïonnette suédoise qui reprends le système à papillon, très commun sur les suédoises. Il s'agit de l'exemplaire pris en photo dans l'ABCN 869.
€60
Pour un sabre 1845 ou 1855.
€100
Pour un revolver velodog hammerless, probablement de "fort" calibre (8mm92 par exemple).
€100
Possiblement destiné à un revolver Monténégrin "civil" court.
€150
Le plus souvent en cartonnage, les boites "papillon" en bois sont très rares.
- -30%
€210
€300
Le képi symbolisera toujours l’Armée française.
€90
Beau morceau d'histoire, témoin de l'extraordinaire qualité des productions suisses.
€800
Bel objet de qualité, témoin du raffinement indo-persan.
En service à l’époque des gendarmes coiffés encore du bicorne, au lendemain du Second Empire.
€40
Le quart modèle 1865 est sans aucun doute celui qui a eu la plus longue carrière au sein de l'armée française .
€40
En service dans l'armée suédoise jusque dans les années 60.
